Interview avec Michel GRALL
Chaque semaine, Hugues JEHANNO, Secrétaire Départemental Adjoint, donne la parole aux candidats morbihannais qui se présentent aux élections législatives. Aujourd’hui, c’est le candidat de la 2ème circonscription (Auray), Michel GRALL qui a accepté de répondre.
HJ: Qui êtes-vous, Michel GRALL ?
MG: Je suis né le 11 septembre 1961 à Carnac. Je suis marié et père de deux adolescents. J’ai fait mes études au collège du Verger (Auray), puis à Lorient (lycée Dupuy-de-Lôme) et Rennes (lycée Chateaubriand). Je suis diplômé de l’école des Hautes études commerciales (HEC) en 1984 et du Centre des hautes études de l’armement (CHEAr)en 2005.
À ma sortie d’HEC, j’ai effectué mon service national en Jordanie, avant de commencer mon parcours professionnel dans le conseil en stratégie industrielle.
HJ: Comment êtes-vous arrivé à l’Assemblée Nationale ?
MG: J’ai toujours eu l’envie de m’investir dans l’action publique.
Je l’ai d’abord fait en tant que maire de Carnac, ma ville natale, de 2004 à 2010.
Puis en 2007, j’ai été élu député du Morbihan, dans la 2e circonscription qui compte 6 cantons: Auray, Belle Île, Belz, Quiberon, Pluvigner et Port Louis.
HJ: Quels sont les domaines dans lesquels vous vous êtes investi durant votre mandat de député ?
MG: Je me suis particulièrement investi sur les sujets touchant à la mer, à la Bretagne, à la défense, aux partenariats publics-privés, que vous retrouverez dans la rubrique « mes actions » de mon site www.michelgrall2012.fr. Mais pas seulement.
Le député est élu pour voter la loi, pour contrôler l’action du gouvernement, mais aussi pour défendre les intérêts de ses concitoyens.
Mon ancrage historique et familial dans ce Morbihan sud, mes nombreux déplacements hebdomadaires dans toutes les communes de la circonscription, mes permanences à Auray me permettent de mesurer les atouts de notre beau territoire, entre terre et mer, mais aussi les difficultés et contraintes vécues par nos concitoyens. J’ai tenté d’y répondre lors de ce 1er mandat, tant lors de démarches pour des cas individuels, que lors de la défense de projets d’intérêt général, comme la création de la zone d’activités du Suroît à Belz, ou celle de la station d’épuration de Riantec.
Je suis fier d’appartenir à l’UMP, le parti des droits et des devoirs, dont je suis secrétaire national. Malgré cette appartenance, je n’ai pas hésité à voter parfois contre l’avis du gouvernement, par exemple contre la loi sur la bioéthique et contre la loi sur la modernisation des professions judiciaires.