Congrès fondateur des Républicains: Les Morbihannais présents
Unis et réunis à la Villette, les Républicains ont déterminé, lors du congrès fondateur du 30 mai 2015, les valeurs défendues par ce nouveau rassemblement.
Avant la prise de parole du Président Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire, Henri Guaino, Jean-Pierre Raffarin, Xavier Bertrand, Eric Woerth (très applaudi)… ont expliqué chacun à l’heure tour que les Républicains seront toujours présents lorsqu’il faudra défendre la France et la République : lutter contre le communautarisme, les ghettos… Peu avant, un message de soutien d’Angela Merkel a été retransmis.
Les Républicains présenteront donc un projet d’alternance clair qui apportera une perspective de réussite. Par ses atouts, en se réformant, la France doit redevenir la première puissance économique européenne.
Dans son discours de fin de congrès, Nicolas Sarkozy a rappelé qu’il était logique que les gaullistes, les libéraux, les démocrates-chrétiens et les radicaux se retrouvent réunis aujourd’hui sous ce nom car ces quatre forces politiques ont toujours sauvée, durant notre histoire, la République lorsqu’elle était en danger, comme c’est le cas aujourd’hui.
Face à ceux qui ont trahi, abaissé et abandonné la République, il est nécessaire de rassembler toutes celles et ceux qui refusent tant de complaisance avec les communautarismes, avec l’abandon de la méritocratie… pourquoi ces mêmes personnes veulent donner le droit de vote aux étrangers et instaurer la proportionnelle pour que le pouvoir appartienne aux partis et non plus au Peuple ?
Le Président Sarkozy a rappelé que la République, c’est le Peuple.
« La seule politique qui vaut alors, c’est celle qui redonne confiance au Peuple et il ne faut en aucun cas tourner le dos au progrès alors qu’il n’a jamais été autant remis en cause ».
Pour finir avec la culture de la méfiance, le travail ne peut plus être moins rémunéré que l’assistanat. La République doit empêcher de désigner arbitrairement des boucs émissaires.
Cette république ouverte aux autres ne transigera pas sur ses valeurs.
Pour clore son discours, Nicolas Sarkozy a appelé à la refonte de l’Europe qui ne peut être prise que par l’initiative de la France et des Républicains